L'ENTREPRISE PRIVEE ET L'ENTRETIEN DES ROUTES.

M. LLAMAZARES ETUDIE DANS LA PREMIERE PARTIE DE L'EXPOSE LE TYPE DE TRAVAUX D'ENTRETIEN DES ROUTES QUI PEUT ETRE CONFIE AUX ENTREPRISES PRIVEES ET A LA GESTION DIRECTE DES ORGANISMES LOCAUX. CETTE ANNEE (1972) LE CHIFFRE DES INVESTISSEMENTS EN ENTRETIEN SE REPARTIT TRES SENSIBLEMENT DE LA FACON SUIVANTE : 60 POUR-CENT POUR LA GESTION DIRECTE ET 40 POUR-CENT POUR L'ENTREPRISE PRIVEE. IL Y A POUR L'AVENIR, UNE TENDANCE A L'AUGMENTATION DU POURCENTAGE DE TRAVAUX EFFECTUES SOUS CONTRAT. ON ETUDIE LA POSSIBILITE D'AVOIR RECOURS A CETTE METHODE POUR L'ENTRETIEN DE LONGS ITINERAIRES AYANT DES CARACTERISTIQUES A PEU PRES UNIFORMES. QUANT A M. ALDAMA, IL ABORDE DANS LA DEUXIEME PARTIE LE MARCHE DES TRAVAUX D'ENTRETIEN, DONT IL ANALYSE DEUX FACTEURS ESSENTIELS : LES ALLOCATIONS BUDGETAIRES ET LA PARTIE DE CELLES-CI QUI N'EST PAS INVESTIE PERSONNELLEMENT PAR LES ORGANISMES ADMINISTRATEURS. UNE SEPARATION BIEN DEFINIE EST NECESSAIRE ENTRE LES TRAVAUX D'ENTRETIEN DEVANT ETRE REALISES PAR GESTION DIRECTE ET CEUX QUI DOIVENT FAIRE L'OBJET D'UN SOUS-TRAITEMENT. IL ETUDIE AUSSI LE PROBLEME DE LA REVISION DES PRIX EN FONCTION DES DEVIS ADJUDICATAIRES. ON MENTIONNE LE COLLOQUE QUI A FAIT SUITE A CES DEUX EXPOSES. VOIR FICHE GENERALE NUMERO 102124.